Une nouvelle au studio de danse
La famille JSA accueille un nouveau membre : Aurélie Sebti, professeure de danse jazz. Elle fera ses premiers pas au studio de la Maison de Quartier le mercredi 15 septembre. En attendant la rencontre avec ses nouveaux élèves, Aurélie nous raconte son histoire avec la danse.
« J’ai toujours dansé ! Pourquoi ? Je ne sais pas mais ça a toujours été vital pour moi » reconnaît Aurélie. En effet, son univers familial ne la prédestinait pas à cette activité : ses parents tenaient un bar-restaurant. Ce fut d’ailleurs sa première scène : « Je dansais pour les clients quand j’étais petite ! Mes parents n’ont jamais pu faire en sorte que je suive des cours…faute de temps sûrement. Mais ça ne m’a pas empêchée de danser et de me nourrir de cet univers. Je regardais des clips, des films, je lisais des livres sur la danse…Je suis devenue autodidacte, développant ma propre manière de danser ».
Après ses études de littérature, Aurélie a pu enfin suivre des cours. Elle partait alors de zéro. Certes, la passion, la volonté, l’état d’esprit et la force morale d’un danseur étaient là, mais pas la technique : « En fait, j’avais commencé à danser avant d’apprendre ! J’ai démarré avec une professeure de danse jazz. Au bout de deux ans, j’avais le niveau pour auditionner à une école pluridisciplinaire. C’était à Toulouse, j’ai obtenu l’EAT (épreuve d’aptitude technique) et par la suite, j’ai pu passer mon diplôme d’état au CEFEDEM de Bordeaux».
Désormais professionnelle, Aurélie a pu partager sa passion par l’enseignement : « J’ai travaillé au conservatoire de Paris, de Colombes, à l’académie de danse Vanessa Feuillatte de Bordeaux, à l’école ADAGE… ». Et la liste ne s’arrête pas là. Outre l’enseignement, Aurélie a foulé des scènes diverses en tant qu’artiste, que ce soit pour des comédies musicales, pour un orchestre itinérant, au cinéma… « Je fais aussi partie d’une compagnie de danse parisienne depuis douze ans. Et je participe régulièrement à des happenings, des projets vidéo ». C’est donc avec une solide expérience professionnelle et une passion sans faille qu’Aurélie arrive au studio des JSA.
Les JSA, une nouvelle page…
Et c’est avec beaucoup d’enthousiasme et de curiosité qu’elle envisage sa première rentrée à la Maison de Quartier : « Etre entourée de professeurs d’autres disciplines artistiques me plaît énormément ! On va pouvoir échanger nos idées et collaborer avec l’école de musique, le théâtre ou encore les arts plastiques. Et j’ai hâte de faire connaissance avec mes nouveaux élèves ». Ces derniers vont avoir affaire à une professeure bienveillante, à l’écoute, passionnée et exigeante aussi : « Ce qui compte le plus pour moi, c’est la créativité. J’essaie de la développer le plus possible afin que les élèves passent un moment de danse qui ait du sens. Cela dit, précise-t-elle, la technique jazz est exigeante physiquement et musicalement. Alors je suis moi-même exigeante ! Mes cours sont assez cadrés mais on ne fait jamais la même chose. Je module de façon subtile ! Il y a quelques rituels comme l’échauffement évidemment mais aussi les pliés, dégagés, isolations, dissociations, travail de la colonne vertébrale, battements, pirouettes, traversées, improvisations et variations. Je fais en sorte de créer du désir, du changement et des surprises, poursuit la professeure. Aussi, pour développer leur créativité, je propose des moments d’improvisation durant lesquels les élèves doivent, par exemple, intégrer les mouvements appris ou bien travailler des notions comme la musicalité, la prise d’espace, les qualités de mouvements spécifiques à la technique jazz, précise-t-elle. L’objectif est que les élèves aient suffisamment de connaissances techniques pour pouvoir aller plus loin, notamment dans l’interprétation ».
Les influences d’Aurélie sont très variées. Impossible de la limiter à un genre ! « Mon style de danse est plutôt fluide et musical, plutôt tourné vers le jazz que le moderne avec des déliés, des accents, beaucoup d’ondulations… mais j’explore tellement de choses en danse ! Le sens du swing et du groove est important. Après, côté musique, je danse sur tout : le swing et le jazz évidemment, mais aussi le trip-hop, l'électro, la musique indé et pourquoi pas le reggae ou la bossa nova. On peut aussi créer des chorégraphies sur des chansons à texte ou des musiques de films. Tant que ça groove et que ça laisse place à l’imagination et l’interprétation » !
Quelques vidéos de ce que peut proposer Aurélie comme exercices :
https://www.youtube.com/watch?v=0YctBHUGIjs
https://www.youtube.com/watch?v=_jjP7Fb8m2k
https://www.facebook.com/watch/?ref=saved&v=1163721363785785
Quelques vidéos appréciées par Aurélie pour découvrir ses influences :
https://www.youtube.com/watch?v=H1R0NwUeez8
https://www.numeridanse.tv/videotheque-danse/political-mother?s
https://www.numeridanse.tv/videotheque-danse/concerto
https://www.youtube.com/watch?v=Q4jy2wrjESQ
https://www.youtube.com/watch?v=8lphegJQ1zs
« J’ai toujours dansé ! Pourquoi ? Je ne sais pas mais ça a toujours été vital pour moi » reconnaît Aurélie. En effet, son univers familial ne la prédestinait pas à cette activité : ses parents tenaient un bar-restaurant. Ce fut d’ailleurs sa première scène : « Je dansais pour les clients quand j’étais petite ! Mes parents n’ont jamais pu faire en sorte que je suive des cours…faute de temps sûrement. Mais ça ne m’a pas empêchée de danser et de me nourrir de cet univers. Je regardais des clips, des films, je lisais des livres sur la danse…Je suis devenue autodidacte, développant ma propre manière de danser ».
Après ses études de littérature, Aurélie a pu enfin suivre des cours. Elle partait alors de zéro. Certes, la passion, la volonté, l’état d’esprit et la force morale d’un danseur étaient là, mais pas la technique : « En fait, j’avais commencé à danser avant d’apprendre ! J’ai démarré avec une professeure de danse jazz. Au bout de deux ans, j’avais le niveau pour auditionner à une école pluridisciplinaire. C’était à Toulouse, j’ai obtenu l’EAT (épreuve d’aptitude technique) et par la suite, j’ai pu passer mon diplôme d’état au CEFEDEM de Bordeaux».
Désormais professionnelle, Aurélie a pu partager sa passion par l’enseignement : « J’ai travaillé au conservatoire de Paris, de Colombes, à l’académie de danse Vanessa Feuillatte de Bordeaux, à l’école ADAGE… ». Et la liste ne s’arrête pas là. Outre l’enseignement, Aurélie a foulé des scènes diverses en tant qu’artiste, que ce soit pour des comédies musicales, pour un orchestre itinérant, au cinéma… « Je fais aussi partie d’une compagnie de danse parisienne depuis douze ans. Et je participe régulièrement à des happenings, des projets vidéo ». C’est donc avec une solide expérience professionnelle et une passion sans faille qu’Aurélie arrive au studio des JSA.
Les JSA, une nouvelle page…
Et c’est avec beaucoup d’enthousiasme et de curiosité qu’elle envisage sa première rentrée à la Maison de Quartier : « Etre entourée de professeurs d’autres disciplines artistiques me plaît énormément ! On va pouvoir échanger nos idées et collaborer avec l’école de musique, le théâtre ou encore les arts plastiques. Et j’ai hâte de faire connaissance avec mes nouveaux élèves ». Ces derniers vont avoir affaire à une professeure bienveillante, à l’écoute, passionnée et exigeante aussi : « Ce qui compte le plus pour moi, c’est la créativité. J’essaie de la développer le plus possible afin que les élèves passent un moment de danse qui ait du sens. Cela dit, précise-t-elle, la technique jazz est exigeante physiquement et musicalement. Alors je suis moi-même exigeante ! Mes cours sont assez cadrés mais on ne fait jamais la même chose. Je module de façon subtile ! Il y a quelques rituels comme l’échauffement évidemment mais aussi les pliés, dégagés, isolations, dissociations, travail de la colonne vertébrale, battements, pirouettes, traversées, improvisations et variations. Je fais en sorte de créer du désir, du changement et des surprises, poursuit la professeure. Aussi, pour développer leur créativité, je propose des moments d’improvisation durant lesquels les élèves doivent, par exemple, intégrer les mouvements appris ou bien travailler des notions comme la musicalité, la prise d’espace, les qualités de mouvements spécifiques à la technique jazz, précise-t-elle. L’objectif est que les élèves aient suffisamment de connaissances techniques pour pouvoir aller plus loin, notamment dans l’interprétation ».
Les influences d’Aurélie sont très variées. Impossible de la limiter à un genre ! « Mon style de danse est plutôt fluide et musical, plutôt tourné vers le jazz que le moderne avec des déliés, des accents, beaucoup d’ondulations… mais j’explore tellement de choses en danse ! Le sens du swing et du groove est important. Après, côté musique, je danse sur tout : le swing et le jazz évidemment, mais aussi le trip-hop, l'électro, la musique indé et pourquoi pas le reggae ou la bossa nova. On peut aussi créer des chorégraphies sur des chansons à texte ou des musiques de films. Tant que ça groove et que ça laisse place à l’imagination et l’interprétation » !
Quelques vidéos de ce que peut proposer Aurélie comme exercices :
https://www.youtube.com/watch?v=0YctBHUGIjs
https://www.youtube.com/watch?v=_jjP7Fb8m2k
https://www.facebook.com/watch/?ref=saved&v=1163721363785785
Quelques vidéos appréciées par Aurélie pour découvrir ses influences :
https://www.youtube.com/watch?v=H1R0NwUeez8
https://www.numeridanse.tv/videotheque-danse/political-mother?s
https://www.numeridanse.tv/videotheque-danse/concerto
https://www.youtube.com/watch?v=Q4jy2wrjESQ
https://www.youtube.com/watch?v=8lphegJQ1zs