Les ados des mini-toques
Tous les mercredis en fin de journée, c’est l’heure d’enfiler le tablier pour les ados cuisiniers. Autour d’Olivier, ils apprennent les gestes de bases et quelques recettes à reproduire chez eux.
Aujourd’hui au menu, les ados préparent des naans, des petits pains d’origine indienne agrémentés de « vache qui rit ». Olivier leur apprend à pétrir puis rouler la pâte de manière à former des naans parfaits. Parmi les cuisiniers en herbe, il y a Maxime, un fidèle de l’atelier. « Ce que je préfère, c’est la pâtisserie, ma spécialité, d’ailleurs, ce sont les fraisiers ! Grâce à l’atelier des mini-toques, je peux donner des idées à ma mère pour la préparation des repas. Aussi, quand je serai étudiant, sachant cuisiner, je ne mangerai pas que des pâtes » prévoit le jeune garçon !
Olivier apprécie le fait de travailler avec ces jeunes cuistots : « Il y a un bon esprit de groupe, une vraie complicité notamment avec ceux qui viennent depuis quelques années. Je les vois grandir ». « Bientôt, tu nous verras avec des cheveux blancs » ajoute Maxime en rigolant !
La diversité autour du plan de travail
« Je reçois tout type d’élèves » précise le chef qui accueille notamment Louis dans son groupe, porteur d’un handicap. « Je m’adapte au rythme de chacun. Cette diversité permet à tous de s’accepter les uns les autres ». Louis est bien heureux de participer aux ateliers d’Olivier car son rêve, dit-il, c’est devenir cuisinier ! La cuisine est aussi un moyen de canaliser l’énergie débordante de certains. La rigueur et la précision qu’exige cette activité reste un bon moyen d’apprendre la patience et l’attention.
Dans le courant de l’année, Olivier compte inviter tous les parents de ces jeunes cuistots pour leur faire goûter les réalisations de leurs enfants. « Avant la pandémie, on faisait ce genre de banquet trois fois par an. On a été forcé d’arrêter mais je compte relancer cette initiative cette année ». Affaire à suivre !...
Aujourd’hui au menu, les ados préparent des naans, des petits pains d’origine indienne agrémentés de « vache qui rit ». Olivier leur apprend à pétrir puis rouler la pâte de manière à former des naans parfaits. Parmi les cuisiniers en herbe, il y a Maxime, un fidèle de l’atelier. « Ce que je préfère, c’est la pâtisserie, ma spécialité, d’ailleurs, ce sont les fraisiers ! Grâce à l’atelier des mini-toques, je peux donner des idées à ma mère pour la préparation des repas. Aussi, quand je serai étudiant, sachant cuisiner, je ne mangerai pas que des pâtes » prévoit le jeune garçon !
Olivier apprécie le fait de travailler avec ces jeunes cuistots : « Il y a un bon esprit de groupe, une vraie complicité notamment avec ceux qui viennent depuis quelques années. Je les vois grandir ». « Bientôt, tu nous verras avec des cheveux blancs » ajoute Maxime en rigolant !
La diversité autour du plan de travail
« Je reçois tout type d’élèves » précise le chef qui accueille notamment Louis dans son groupe, porteur d’un handicap. « Je m’adapte au rythme de chacun. Cette diversité permet à tous de s’accepter les uns les autres ». Louis est bien heureux de participer aux ateliers d’Olivier car son rêve, dit-il, c’est devenir cuisinier ! La cuisine est aussi un moyen de canaliser l’énergie débordante de certains. La rigueur et la précision qu’exige cette activité reste un bon moyen d’apprendre la patience et l’attention.
Dans le courant de l’année, Olivier compte inviter tous les parents de ces jeunes cuistots pour leur faire goûter les réalisations de leurs enfants. « Avant la pandémie, on faisait ce genre de banquet trois fois par an. On a été forcé d’arrêter mais je compte relancer cette initiative cette année ». Affaire à suivre !...