Un partenaire qui sait ravir nos papilles !
Pendant longtemps, on avait l’habitude d’aller « chez Bouchon » acheter ses chocolats. Depuis près d’un an, c’est désormais à la « Cacaoterie de Mialy » que le quartier va se régaler ! Une transition tout en amitié et en gourmandise !
Luc Dorin est pâtissier-chocolatier depuis toujours ! Avant tout, il a commencé par la pâtisserie. « Je suis de La Rochelle. C’est là-bas que j’ai passé mon CAP Pâtissier. Ensuite, je suis allé à Aurillac où j’ai obtenu mon brevet de maîtrise de pâtissier. » Comme l’explique l’expert en sucreries, quand on passe ces diplômes, on explore 4 spécialités : la pâtisserie, la confiserie, puis l’univers du chocolat et enfin des glaces. Un quatuor qui fait saliver ! Suite à cela, Luc Dorin a voulu approfondir ses connaissances dans chacune de ces catégories. « Je me suis arrêté au brevet de maîtrise de chocolatier », conquis par ce met.
En 1992, il monte à la capitale et obtient son diplôme de maître chocolatier. Il rejoint alors de prestigieuses maisons comme celles de Christian Constant ou encore chez Pierre Mauduit. Il sera ensuite responsable de production chez Jean-Paul Hevin, meilleur ouvrier de France. En 2000, il décide de rejoindre son sud-ouest natal et opte pour Bordeaux. Et tant mieux pour nous ! Cela fait donc 22 ans qu’il gâte le port de la lune de ses spécialités ! Comme sa fameuse galette de frangipane et chocolat attendue impatiemment par ses fidèles clients au mois de janvier ! Ou encore ses chocolats au pastis de l’île de Ré élaborés avec son frère, cultivateur de plantes aromatique bio.
Les chocolats de Luc Dorin sont élaborés de A à Z : « Je maîtrise la chaîne du début à la fin. Tout part de fèves de cacao d’une coopérative camerounaise dont je suis le parrain, à Zoétélé. Je transforme moi-même ces fèves. » Le chocolatier a récemment offert aux salariés de cette coopérative, un triporteur leur permettant de transporter plus facilement les fèves des champs au centre de récolte. « Souvent, la récolte se déroule pendant la saison des pluies. Les gens de la coopérative doivent transporter les fèves sur des chemins boueux difficilement praticables. Ils perdaient une partie de la récolte. Ce triporteur leur facilite le transport. Quand j’y suis allé en octobre pour leur donner, ils étaient aux anges et m’ont accueilli en chanson » !
C’est donc à partir de ce chocolat de Zoétélé que sont conçues la plupart de ses confiseries dont lui-même ne se lasse pas. « Mes préférées, ce sont les chocolats au rhum arrangé à la banane et les chocolats à la vanille de Tahiti ».
Après une première boutique rue judaïque puis à Caudéran, c’est désormais au cœur de St Augustin que le chocolatier vend ses douceurs sucrées. « Florent Bouchon est un ami. C’est lui qui m’a proposé de reprendre son enseigne. Je connais bien le quartier dont j’aime l’esprit village. Et je connais bien les JSA ! Je donnais des cours de pâtisserie à la Maison des 5 Sens il y a une dizaine d’années. Ce sont deux de mes apprentis qui ont pris le relais, François puis Aurélien. Ma fille suivait aussi des cours de danse modern jazz ». Son partenariat avec la Maison de Quartier est donc une évidence !
Luc Dorin est pâtissier-chocolatier depuis toujours ! Avant tout, il a commencé par la pâtisserie. « Je suis de La Rochelle. C’est là-bas que j’ai passé mon CAP Pâtissier. Ensuite, je suis allé à Aurillac où j’ai obtenu mon brevet de maîtrise de pâtissier. » Comme l’explique l’expert en sucreries, quand on passe ces diplômes, on explore 4 spécialités : la pâtisserie, la confiserie, puis l’univers du chocolat et enfin des glaces. Un quatuor qui fait saliver ! Suite à cela, Luc Dorin a voulu approfondir ses connaissances dans chacune de ces catégories. « Je me suis arrêté au brevet de maîtrise de chocolatier », conquis par ce met.
En 1992, il monte à la capitale et obtient son diplôme de maître chocolatier. Il rejoint alors de prestigieuses maisons comme celles de Christian Constant ou encore chez Pierre Mauduit. Il sera ensuite responsable de production chez Jean-Paul Hevin, meilleur ouvrier de France. En 2000, il décide de rejoindre son sud-ouest natal et opte pour Bordeaux. Et tant mieux pour nous ! Cela fait donc 22 ans qu’il gâte le port de la lune de ses spécialités ! Comme sa fameuse galette de frangipane et chocolat attendue impatiemment par ses fidèles clients au mois de janvier ! Ou encore ses chocolats au pastis de l’île de Ré élaborés avec son frère, cultivateur de plantes aromatique bio.
Les chocolats de Luc Dorin sont élaborés de A à Z : « Je maîtrise la chaîne du début à la fin. Tout part de fèves de cacao d’une coopérative camerounaise dont je suis le parrain, à Zoétélé. Je transforme moi-même ces fèves. » Le chocolatier a récemment offert aux salariés de cette coopérative, un triporteur leur permettant de transporter plus facilement les fèves des champs au centre de récolte. « Souvent, la récolte se déroule pendant la saison des pluies. Les gens de la coopérative doivent transporter les fèves sur des chemins boueux difficilement praticables. Ils perdaient une partie de la récolte. Ce triporteur leur facilite le transport. Quand j’y suis allé en octobre pour leur donner, ils étaient aux anges et m’ont accueilli en chanson » !
C’est donc à partir de ce chocolat de Zoétélé que sont conçues la plupart de ses confiseries dont lui-même ne se lasse pas. « Mes préférées, ce sont les chocolats au rhum arrangé à la banane et les chocolats à la vanille de Tahiti ».
Après une première boutique rue judaïque puis à Caudéran, c’est désormais au cœur de St Augustin que le chocolatier vend ses douceurs sucrées. « Florent Bouchon est un ami. C’est lui qui m’a proposé de reprendre son enseigne. Je connais bien le quartier dont j’aime l’esprit village. Et je connais bien les JSA ! Je donnais des cours de pâtisserie à la Maison des 5 Sens il y a une dizaine d’années. Ce sont deux de mes apprentis qui ont pris le relais, François puis Aurélien. Ma fille suivait aussi des cours de danse modern jazz ». Son partenariat avec la Maison de Quartier est donc une évidence !